Tout public HD Drame 1 heure 25 minutes 1943 La lutte inégale entre les grands magasins et le petit commerce, à la fin du XIXème siècle. Mouret, un ancien vendeur doué d'un génie des affaires, devient l'heureux directeur du premier grand magasin, Au Bonheur des dames », et ruine Baudu, malheureux propriétaire d'une petite boutique voisine Le Petit Elbeuf », et lui vole même l'affection de sa nièce Denise, en dépit de la jalousie et des intrigues de la perfide Madame Desforges. Louer 3,99 € Acheter 11,99 € La lutte inégale entre les grands magasins et le petit commerce, à la fin du XIXème siècle. Mouret, un ancien vendeur doué d'un génie des affaires, devient l'heureux directeur du premier grand magasin, Au Bonheur des dames », et ruine Baudu, malheureux propriétaire d'une petite boutique voisine Le Petit Elbeuf », et lui vole même l'affection de sa nièce Denise, en dépit de la jalousie et des intrigues de la perfide Madame Desforges. Louer 3,99 € Acheter 11,99 € Bande-annonce Distribution et équipe technique Informations Studio Gaumont Genre Drame Sortie 1943 Copyright © 1943 Gaumont Langues Principale Français Stéréo Artistes du film D’autres ont aussi acheté Films inclus dans Drame
Commeje suis abonné SFR j'ai des chaines films comme Paramount et TCM cela m'évite de télécharger. Là j'ai revu "Voyage au bout de l'enfer" toujours la grosse claque avec un De Niro juste hallucinant, mais y aussi Inception, Gladiator version longue, Master and Commander grandiose film avec Paul Bethany Vision et Russel Crocs je l'ai vu 10 fois,
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,6 54 notes dont 13 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis L'essor des grands magasins au siècle dernier à travers l'histoire d'une orpheline qui monte à Paris pour travailler chez son oncle marchand de draps. Regarder ce film VIVA Location dès 2,99 € HD UniversCiné Location dès 2,99 € Orange Location dès 2,99 € PremiereMax Location dès 2,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposé par Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Spectateurs J’avoue ne pas trop comprendre la méconnaissance de ce film de Duvivier, un superbe métrage, qui est bien plus qu’une adaptation de Zola, ce qu’il n’est d’ailleurs que de très loin. D’abord la réalisation est excellente. Le travelling avançant frontalement au milieu de la foule par exemple est un moment impressionnant dans un film du temps, l’accident de voiture est énorme sans doute un des plus marquants que j’ai pu voir ... Lire plus Film rare diffusè jadis au cinèma de minuit, c'est le dernier muet que Julien Duvivier signa dont l'oeuvre est d'une diversitè et d'une richesse extraordinaire! Nous sommes donc ici à l'aube du parlant où l'essor du Bonheur des Dames » se fait sentir! Sur le plan technique, on reconnaît la patte de Duvivier qui ne malmène en rien cette adaptation cèlèbre d'Emile Zola! Excellence des dècors, travellings impressionnants pour ... Lire plus Vu il y a quelques mois cette rareté vaut le coup d'être visionnée. Notamment parce que cette adaptation muette du roman de Zola a été transposée en 1929. De ce point de vue très intéressant, la mise en scène inventive et déjà maîtrisée de Julien Duvivier, montre l'inexorable avancée du progrès et son lien avec un mercantilisme capitaliste que rien n'arrêtera plus désormais, même si parfois le trait paraît appuyé. Les ... Lire plus N’ayant jamais lu l’oeuvre d’Emile Zola, je ne pourrais dire si cette adaptation est d’une grande fidélité au matériau d’origine. Mais grâce à la superbe mise en scène de Julien Duvivier et à la subtile et très convaincante prestation de Dita Parlo dans le rôle principal, j’ai pris un certain plaisir à visionner ce film. A mon sens, il faut donc clairement découvrir ce long métrage et ce que l’on connaissent ou pas le roman en question. 13 Critiques Spectateurs Photo Infos techniques Nationalité France Distributeur - Année de production 1930 Date de sortie DVD - Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD 31/10/2017 Type de film Long-métrage Secrets de tournage - Budget - Langues Muet Format production - Couleur N&B Format audio - Format de projection - N° de Visa - Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
AuBonheur des Dames. De Agnès Lejeune Gaëlle Hardy Bande-annonce Partager Donner mon avis Infos Vidéos Partager Infos Réalisé par : Agnès Lejeune & Gaëlle Hardy Durée : 68 minutes Genre : Documentaire Synopsis. Ce documentaire met en lumière huit femmes, employées dans le secteur des Titres-Services, qui nous parlent de leur quotidien de "femme de ménage",
" Elles " ont de 20 à 65 ans. Elles sont " femmes de ménage " comme on le dit encore trop souvent. Tous les matins, elles s'en vont travailler chez les autres. Certaines d'entre elles n'ont pas fait d'études, elles ont connu le travail en usine ou au noir ; d'autres ont été vendeuses, éducatrices, enseignantes ou aides-soignantes... Il y a eu les basculements de la vie un homme qu'on quitte ou qui s'en va, les gosses qui attendent, des horaires qui rendent impossible la vie de famille dans un travail qu'on aimait... Puis on plonge dans le travail ménager ce travail dont personne ne veut et qui depuis la nuit des temps est réservé aux femmes. Un travail qui, à en croire une opinion encore très largement répandue, n'exigerait aucune qualification. Aujourd'hui, elles sont plus de 165 000 employées dans le secteur des " Titres-Services ". Ce chant choral inédit dessine le contour de la condition de ces femmes courageuses et lumineuses qui font le pari d'écrire une nouvelle page de leur travail. Un documentaire réalisé par Gaëlle Hardy et Agnès Lejeune. Une coproduction Films de la passerelle / RTBF /WIP. Auteur Lejeune Agnes, Gaële Hardy Réalisateur Lejeune Agnes, Gaële Hardy
La princesse de Clèves se distingue des autres personnages par sa vertu hors du commun qui lui a été inculquée par sa mère, Mme de Chartres. — Au xixe siècle, on retrouve des personnages possédant de grandes valeurs morales. On peut ainsi citer Denise Baudu, hérone du roman d’Émile Zola Au bonheur des dames. La jeune femme est
L’adaptation d’un roman en bande dessinée est toujours un exercice délicat. Malgré un style résolument moderne, Au Bonheur des Dames d’Agnès Maupré offre une interprétation assez fidèle du chef d’œuvre d’Emile Zola. Un récit d’ascension sociale sur fond d’essor de la société de consommation au XIXe siècle. Le nouveau Paris d’Haussmann Durant la deuxième moitié du XIXe siècle, Paris se transforme. Les grands boulevards remplacent les ruelles insalubres. C’est la naissance des grands magasins, dont le modèle concurrence directement les petits commerces de détail. Denise, une jeune vendeuse sans le sou arrivée de sa province normande, fait face à un dilemme Aider le commerce de son oncle, qui périclite, ou céder à la tentation du luxe et de la modernité ? Aux tensions économiques et sociales s’ajoutent un dilemme amoureux. En plus d’être courtisée par un jeune vendeur issu comme elle d’une famille modeste de Province, Denise semble ne pas laisser indifférent Mouret, l’entrepreneur à succès à la tête du grand magasin… Une adaptation à la fois fidèle et moderne Au Bonheur des Dames conserve l’intrigue principale du roman original, publié par Emile Zola en 1883. Le texte prend d’ailleurs une place très importante dans ce roman graphique, avec des dialogues efficaces sans être anachroniques. Quant aux dessins, ils frappent par leurs couleurs vives et leur effet brillant ». Cette chatoyante met certes en avant les amas d’étoffes et le côté tapageur des techniques d’étalage employées. Mais elle contraste avec l’ambiance feutrée qu’on imagine rencontrer dans de tels lieux. Si le dessin ne plaira pas à tout le monde, la lecture d’Au Bonheur des Dames reste agréable et donne envie de redécouvrir l’excellente série historique de la BBC The Paradise, elle aussi adaptée du roman de Zola. Article original publié dans Le Suricate Magazine
Artediffuse samedi un docu-fiction sur Le Bon Marché, « Au Bonheur des dames », revenant sur l’invention du grand magasin et son influence sur l’émancipation des bourgeoises du Second Empire.
Denise Baudu, orpheline, arrive dans la capitale. Elle s’installe chez son oncle, dont le magasin vieillot “Au Vieil Elbeuf” est situé juste en face d’ "Au Bonheur des dames”, enseigne qui lui fait une redoutable concurrence. Denise comprend très vite que les affaires de son oncle sont au plus mal… Le poème de l’activité moderne. Pour faire une description fidèle du grand magasin qu’il nomme Au bonheur des dames », Zola s’inspire du Bon Marché » qu’il visite. La note d’intention de Zola donne d’ailleurs un bon aperçu de la volonté de l’auteur de retranscrire l’esprit du siècle Je veux dans Au Bonheur des dames faire le poème de l’activité moderne. […] En un mot, aller avec le siècle, exprimer le siècle, qui est un siècle d’action et de conquête, d’efforts dans tous les sens. » Le roman est le onzième du cycle des Rougon-Macquart. Comme pour les précédents, Zola réunit une importante documentation. Il réalise la majorité de ses observations au Bon Marché » et aux Grands Magasins du Louvre » pendant deux mois février et mars 1882. Il observe la disposition des rayons, l’architecture, relève des plans étage par étage, s’informe sur la fondation et l’organisation générale, les techniques de vente, les systèmes d’intéressement des employés, visite les chambres des vendeuses au Bon Marché ; bref, il amoncelle les notes sur tout ce qu’il voit dans une centaine de pages de notes et réalise de nombreux croquis.[1] ». Il rassemble les informations recueillies après avoir fait une première ébauche » qui donne les grandes lignes du récit et sa structure. Jouissant d’une fin heureuse, inhabituelle chez Zola, Au bonheur des dames n’en est pas moins une description féroce des logiques capitalistiques à l’œuvre et qui se renforceront aux siècles suivants. Duvivier et Cayatte. Au bonheur des dames a fait l’objet de deux adaptations célèbres, l’une, muette, par Julien Duvivier en 1930, l’autre par André Cayatte en 1943. Le film de Duvivier transpose l’action à la fin des années 1920, l’héroïne, orpheline, arrive seule à Paris. La trame est réduite autour d’un petit nombre de personnages. Ces deux facteurs conduisent beaucoup de commentateurs à trouver le film de Cayatte plus fidèle. Néanmoins, en termes cinématographiques, Julien Duvivier parvient admirablement à retranscrire la frénésie de la ville, dès l’arrivée de Denise à la capitale, et dans toutes les scènes de foule au Bonheur des Dames ». On comprend aisément le caractère englobant du magasin et sa majesté, quasi empire à la réclame envahissante. Les personnages de Denise et de son oncle Baudu sont traités différemment dans les deux versions chez Duvivier, elle s’affirme et il subit tandis que chez Cayatte, elle est intimidée et il lutte. Si les deux films s’attardent sur la romance davantage que le roman ne le faisait, l’adaptation de Julien Duvivier semble la plus apte à décrire les évolutions du commerce et de la société, mais aussi celle qui résiste mieux à l’épreuve du temps. – Victor Courgeon [1] Dossier édité par la BNF sur le roman de Zola et qui retrace tout le travail de préparation de l’écrivain repérages, plan, construction des personnages… Disponible à l’adresse suivante
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