Accueil Actu Actualité À Waldhambach, un passionné de vélos se lance dans la location Cet été, ce sera peut-être l’occasion de découvrir les paysages d’Alsace Bossue… à vélo ! Au total, la région compte, justement, près de 250 kilomètres d’itinéraires. Et un habitant de Waldhambach, Sébastien Durr, a décidé de lancer sa petite entreprise de location, Loc’Bike du Grünewald. Une petite évidence pour lui. Moi-même je fais beaucoup de VTT et l'idée m'est venue, vu qu'il n'y a pas grand chose dans le coin pour louer des vélos avec tous les sentiers et les forêts que l'on a autour. Il y a moyen de faire de beaux tours près de chez nous. Son N°1 - À Waldhambach, un passionné de vélos se lance dans la location Sébastien s'est lancé cette année, avec le soutien de sa compagne Jessica. C’est dans leur garage qu'il a entreposé ses vélos, achetés avec ses propres économies on y trouve des VTT pour tous les âges, des remorques pour enfants ou encore des vélos électriques. Ce sont eux qui attirent le plus de curieux. Son N°2 - À Waldhambach, un passionné de vélos se lance dans la location Il y a beaucoup de demandes, beaucoup de gens qui viennent essayer, découvrir car ils ne connaissent pas et ils peuvent peut-être se permettre de partir plus loin, de faire de plus grands tours vu que c'est même donné aux gens qui ne sont pas sportifs pour faire un grand tour. Pour le moment, libre aux locataires de se déplacer partout où ils veulent. Mais Sébastien espère à terme faire évoluer ces balades. Son N°3 - À Waldhambach, un passionné de vélos se lance dans la location Là j'ai commencé à voir pour avoir des GPS pour mettre sur les vélos et créer des sentiers. Et je vais peut-être être partenaire avec l'office de tourisme de Lorentzen pour faire des choses pour plus tard, du style des événements, des sorties. Voire même être accompagnateur aussi. À l’avenir, ce magasinier dans une entreprise de chaudronnerie de Sarre-Union aimerait pouvoir se mettre à son compte, et même ouvrir une boutique. Il est possible de louer les vélos d’une demi-journée jusqu’à une semaine. Comptez entre 6 à 66 euros pour les enfants, 9 à 95 euros pour des VTT traditionnels. Et entre 30 et 310 euros pour des VTT électriques.
Lescollectivités locales : la plupart des grandes agglomérations proposent des services de location de vélos en libre-service (en station ou en free-floating) en s’appuyant sur de grands opérateurs de la mobilité (Keolis, Fiftenn).
Après les voitures, les vélos. Mercredi 31 janvier, Uber a annoncé le lancement d'un programme pilote à San Francisco pour permettre à ses utilisateurs de louer des vélos électriques en libre-service. La société de transport urbain s'est associée avec la start-up Jump, qui a commencé à déployer début janvier une flotte de 250 bicyclettes dans les rues de la cité californienne. "Ce n'est qu'une première étape", explique Andrew Salzberg, directeur de la politique de transport et de la recherche chez Uber. A partir de la semaine prochaine, les clients de l'entreprise à San Francisco disposeront d'une nouvelle option au sein de l'application mobile. Celle-ci affichera les vélos situés à proximité. Il suffira ensuite d'en sélectionner un pour le réserver. Le prix est fixé à 2 dollars 1,61 euro pour les trente premières minutes. Chaque minute supplémentaire sera facturée quelques centimes. Une fois le trajet terminé, le deux-roues pourra être attaché sur n'importe quel arceau à vélo public ou laissé dans des zones précises des trottoirs. PAS DE BORNES Contrairement aux Vélib' parisiens, le système ne repose en effet pas sur les traditionnelles bornes de stationnement. A la place, les vélos sont équipés d’un GPS, ce qui permet aux clients de les localiser avec leur smartphone. Après avoir rencontré le succès en Chine, ce modèle gagne désormais l’Europe et les Etats-Unis. “C’est un système plus flexible et moins coûteux, qui ne requiert aucune subvention publique”, explique Jack Song, le directeur marketing de Limebike, une jeune entreprise présente dans près de 50 villes américaines. Plusieurs sociétés se sont lancées à l’assaut du marché aux Etats-Unis, notamment les géants chinois du secteur Ofo et Mobike. Les investisseurs affluent. Fin 2017, Limebike a ainsi levé 50 millions de dollars. “C’est une activité qui réclame beaucoup de capitaux”, reconnaît son directeur marketing. Si l’absence de bornes permet de réaliser des économies, le modèle économique doit encore faire ses preuves. Ces nouveaux services ne nécessitent en effet pas d’abonnement annuel et proposent des prix très faibles. DIVERSIFICATION Autre obstacle la réticence de certaines municipalités qui s’inquiètent du stationnement sauvage des vélos sur les trottoirs. Ou qui ont signé des accords d’exclusivité avec un acteur traditionnel. C’est le cas par exemple de New York. A San Francisco, les autorités se sont également longtemps opposées à l'arrivée de ces nouveaux services. Elles ont finalement accordé une autorisation à Jump, mais seulement pour 18 mois. Au cours de cette période d'évaluation, le nombre de vélos sera par ailleurs limité à 500. Avec ce partenariat, Uber poursuit sa stratégie diversification de son activité. La société de voitures avec chauffeur propose déjà un service de livraison de repas UberEats et un service de coursiers UberRush. Elle teste également depuis l'an passé une plate-forme dédiée au transport routier. Uber suit par ailleurs la voie tracée par certains de ses concurrents asiatiques. Le chinois Didi, le singapourien Grab et l'indien Ola ont en effet récemment lancé des services de vélos en libre-service. Uber ne peut donc pas se permettre de prendre du retard. PhotoUber Jérôme MarinBlog Silicon Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. .